Racisme anti blancs dans les universités americaines

Les universités américaines de l'”Ivy League” sont les plus réputées des États Unis, l’équivalent de nos meilleures grandes écoles.

Dans un très long article, traduit en français par Numidia Liberum, Ron Unz, chercheur américain, prouve qu’un racisme systématique est en place dans ces universités.

Sa méthode est simple :

(nous vous épargnons la lecture de ce très long, et très sourcé, article) :

Il a récupéré la liste des “NMS”, les “demi finalistes méritants nationaux”. Cette liste contient les 0,5% de meilleurs étudiants, c’est à dire le même niveau de sélection que l’Ivy League et que les autres top universités techniques : Stanford, MIT, Caltech.
Ensuite il a travaillé sur les noms de famille, en croisant les chiffres estimés, lorsque c’était possible, avec des recensements ethniques fiables.

Alors que globalement, de 1990 à 2011, la part des étudiants asiatiques double, passant grosso modo de 20 à 40%, elle plafonne vers des niveaux très identiques dans toutes ces universités, entre 14 et 18%, soit à peine plus qu’avant (à part chez Caltech)

Un chercheur du nom de Karzbel à montré que dans les années 1920, les WASP avait établi des quotas “anti juifs” dans ces universités. Revanche de l’histoire, les faits sont désormais inversés : ces universités ont un encadrement en bonne partie juif, et apeuré à l’idée de discriminer quiconque. Résultat, les blancs non juifs sont clairement discriminés !

Sur l’ensemble des NMS, on trouve 65 à70 % de blancs non juifs, et 6% de juifs. Si on compare, par rapport à la moyenne, le ratio d’étudiants admis par rapport à leur part dans les NMS, on obtient ces chiffres pour Harvard :

  • Asiatiques : 63%
  • Juifs : 435%
  • Blancs non juifs : 28%

Les chiffres sont similaires partout les voici résumés dans ces deux tableaux :

À noter que cette sur représentation des juifs daterait seulement des 10 ou 20 dernières années: leur part dans les NMS aurait brusquement chuté, sans que la part dans les admis ne chute.

Ces différences d’égalité seraient d’après le chercheur plutôt des biais non conscients, liés à la peur d’être traités de racistes ou d’antisémites.

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