Certains ont parfois tendance à se décourager quant au combat des bons (au niveau religieux et politique) contre les ennemis : mondialistes et athées, instrumentalisant les musulmans. Or, et bien que les russes soit objectivement les alliés de l’Europe contre l’invasion musulmane, leurs aïeux de l’URSS ont été des envahisseurs dans de nombreux pays.
Les nouvelles à ce sujet sont bonnes : la Lettonie, où désormais 1/3e des habitants sont des envahisseurs, arrive à faire reculer l’influence de la langue et la culture russe.
Vous pouvez lire l’extrait ci-dessous et remplacer les mots :
*text Lettonie = France
*text russe = arabe
*text russophone = arabophone
*text soviétique : mondialiste
*text en 1991 = en 2017
Ce qui est rassurant c’est que même au point où il y a un tiers d’envahisseurs (non assimilés), il y a encore moyen de réagir. La Lettonie le prouve, et en France nous ne sommes “que” à 12% environ. Rien n’est perdu !
”Le vote en Lettonie contre l’instauration du russe comme deuxième langue officielle du pays dans un référendum national ne reflète pas la réalité, plus de 300.000 russophones ayant été privés du droit de vote, a estimé dimanche la diplomatie russe.
Les résultats du référendum sont loin de refléter la situation réelle dans le pays parce que 319.000 +apatrides+ étaient privés de leur droit de s’exprimer bien que nombre d’entre eux soient nés et vivent depuis longtemps en Lettonie, a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.
Nous espérons que la voix des russophones soit entendue par le gouvernement letton et par les organisations internationales censées garantir le respect des droits des minorités, poursuit le communiqué.
La minorité russophone représente environ un tiers des 2 millions d’habitants de ce pays balte.
…
Les Lettons se sont prononcés à près de 75% contre l’instauration du russe comme deuxième langue officielle du pays dans un référendum national samedi, selon les résultats quasi-définitifs publiés par la commission électorale.
La Lettonie a repris son indépendance de Moscou en 1991, à l’issue de 50 ans de domination soviétique, et a rejoint en 2004 l’Union européenne et l’OTAN.
Après l’indépendance, les russophones qui s’étaient installés dans cette république balte à l’époque soviétique ont dà» se soumettre à un test de langue pour obtenir la nationalité lettone. Ceux qui ne l’ont pas fait ont le statut d’apatrides.
Les partisans du oui souhaitaient mettre fin à ce qu’ils considèrent comme une discrimination à l’égard des russophones.”
Source : http://www.romandie.com/news/n/_Non_au_russe_en_Lettonie_le_referendum_ne_reflete_pas_la_realite_190220121402.asp