Les autorités religieuses locales, qui ont eu vent de l’affaire, ont alors décrété que, selon la règle du “triple talaq”, les mots prononcés par Aftab, équivalaient à un divorce. Le couple, marié depuis 11 ans, a trois enfants.
Toujours selon ces mêmes autorités, le couple devra patienter au moins cent jours, s’il souhaite se remarier.
Sohela et Aftab, qui vivent dans l’Etat du Bengale occidental, dans le nord-est du pays, ont refusé de se soumettre à l’injonction religieuse et ont fait appel à un centre d’assistance familiale.
C’est une controverse totalement inutile et ces autorités religieuses locales ignorent totalement la loi islamique, a déclaré Zafaryl-Islam Khan, spécialiste de l’Islam et éditeur de la Milli Gazette, un journal musulman populaire.
Note: cela est relaté par Reuters. Jamais l’agence pro terroriste AFP ne l’aurait ébruité…
2) Second exemple: En Islam, les apostats sont punis de morts, même dans les pays “libérés” par les américains. En occident, c’est les quelques pourcents de croyants restant qu’on emmerde avec des lois pro-homos, pro-avortement et euthanasie, etc… et les apostats sont glorifiés. Cherchez l’erreur
Voilà ce qui vous attend, pauvres gauchos débiles, lorsque grâce à tous les immigrés que vous faites rentrer en France, l’Islam sera religion d’état…
Alors les homos activistes, les échangistes, les libertaires et anarchistes etc… vous tremblerez devant le fléau islamique et vous remémorerez avec honte comment vous avez traité les catholiques qui vous toléraient déjà trop..
KABOUL (AP) – Le ressortissant afghan, qui s’est converti au christianisme, souhaite obtenir l’asile dans un autre pays, a rapporté lundi un porte-parole des Nations Unies.
Adrian Edwards a précisé que l’ONU collaborait avec le gouvernement afghan afin de trouver une solution au problème, suite à la requête d’Abdul Rahman.
“M. Rahman a demandé l’asile hors de l’Afghanistan”, a-t-il déclaré. “Nous nous attendons à ce que cela lui soit accordé par l’un des pays” souhaitant “une solution pacifique” dans le cadre de cette affaire.
Des centaines d’Afghans ont manifesté lundi dans une ville du nord du pays contre la décision de libérer un converti à la foi chrétienne, selon les autorités. Abdul Rahman devait être jugé à brève échéance pour apostasie et aurait par voie de conséquence automatiquement été condamné à la peine capitale.
Quelque 700 personnes se sont rassemblées dans le centre de Mazar-e-Sharif aux cris de “Mort à Bush” et d’autres slogans anti-occidentaux, au lendemain de l’annonce par le tribunal de l’abandon pour absence de preuves des poursuites pesant sur Abdul Rahman. Les forces de sécurité ont encadré les manifestants mais ne sont pas intervenues. AP