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A l’occasion du ((sommet de copenhague)), ces quelques articles nous montrent à  quel point les tenants du N.O.M. font le forcing pour faire revenir le malthusianisme dans les esprits. Journaux, prétendus experts ou scientifiques, et notamment membres d’organismes mondiaux et mondialistes lié à  l’ONU, associations “écologistes”, ils sont nombreux à  venir nous rabâcher que l’homme est trop nombreux pour la planète, qu’il faut limiter la popluation, etc.

Il serait intéressant de faire le lien avec quelques-uns des plus riches et les plus puissants de la planètes, par ailleurs membres du Bilderberg, qui se seront réunis en mai 2009 sur le même thème (article à  rédiger).

On peut également se poser la question de l’intérêt qu’ils y trouvent. Quand on sait le niveau de gaspillage des sociétés modernes, la façon dont les sciences et technologies sont exploitées, sans tenir compte de l’humain; est-ce une sinistre bienveillance qui préfère réduire le nombre des humains que rechercher des solutions ? un cynique calcul pour mieux exploiter les pauvres (ils peuvent avoir calculé un ratio optimal pour ce faire) ? la simpe haine de la vie, voire du christianisme (“croissez et multipliez-vous”) ?

Voir aussi le dossier: http://www.solidariteetprogres.org/sp_depopulation.php

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source : http://www.solidariteetprogres.org/article6109.html

Brèves / Climat : Meadows annonce les objectifs, pas plus de 2 milliards d’humains
12 décembre 2009 – 23:46

12 décembre 2009 (Nouvelle Solidarité) – Alors qu’à  Copenhague le lobby anti-population peine à  pousser les nations au suicide, l’un de ses plus loyaux valets, l’expert en ingénierie sociale du MIT, Dennis Meadows, annonce ouvertement les objectifs de la fraude du réchauffement climatique : réduire la population mondiale à  2 milliards d’individus. Meadows joua un rôle fondamental au commencement de cette propagande malthusienne, puisqu’il est le co-auteur du rapport du Club de Rome Halte à  la croissance de 1972 (plus justement surnommé Halte à  l’intelligence). [*]

‘ Nous devons apprendre à  vivre une vie remplie avec le niveau d’émissions de CO2 de l’Afghanistan “, explique Meadows dans une interview publiée le 9 décembre sur le site de l’hebdomadaire allemand Der Spiegel. ‘ Est-ce possible avec 9 milliards de personnes sur cette planète ? ” lui demande l’interviewer. ‘ Non, réplique-t-il, même 7 milliards c’est trop pour cette planète. (…) Si tout le monde est autorisé à  pouvoir pleinement se déplacer, se nourrir et s’auto-développer, c’est 1 à  2 milliards. ” Lorsqu’on lui demande comment atteindre cet objectif, le gourou de l’anti-population n’a pas le courage d’aller au bout de sa pensée, en expliquant qu’il est une personne éthique et ne ferait jamais de mal à  une mouche. ‘ Mais, poursuit-il, le problème c’est que notre mode de vie actuel fait directement du mal aux générations futures. ”

Un journaliste inspiré lui aurait alors rétorqué : ‘ Non Dennis, ce sont les meurtriers comme vous qui font du mal aux générations à  venir, mais nous ferons en sorte que vous soyez très vite un phénomène du passé. ”

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source : http://www.solidariteetprogres.org/article6102.html

Brèves / La presse financière du Commonwealth appelle Copenhague à  réduire la population mondiale
11 décembre 2009 – 13:38

11 décembre 2009 (Nouvelle Solidarité) – La véritable intention derrière la fraude du réchauffement climatique promue au Sommet de Copenhague est une politique malthusienne de réduction drastique de la population. Hier, le quotidien de la City de Londres, le Financial Times, et son homologue canadien, le Financial Post, ont appelé les dirigeants du monde à  entreprendre de toute urgence une politique d’austérité démographique.

Le quotidien britannique se félicite d’abord que ‘ le Sommet de Copenhague ait donné un nouvel élan au débat sur la nécessité de stabiliser la population mondiale “, tout en déplorant que ‘ certains pays en développement ont échoué à  suivre la grande transition démographique vers des niveaux de fertilité plus bas, qui s’est produite ces dernières décennies dans le monde occidental “. Heureusement, le Financial Times voit en Obama le salut :’ En tant que Président, une des premières décisions de Barack Obama a été de briser la règle du silence mondial. Il a depuis annoncé une révision des financements de la santé mondiale, en insistant sur l’élargissement des programmes comme le planning familial plutôt que de se concentrer sur une poignée de maladies prioritaires “. C’est la nouvelle philosophie eugéniste que le Fonds des Nations Unies pour la population a recommandé pour le Sommet de Copenhague : moins de naissances, c’est moins de CO2. Mais le FT souligne que de nombreux défenseurs du planning familial s’opposent à  ce type d’argument liant CO2 et démographie, en expliquant que les gens des pays riches font moins d’enfants mais ont une ‘ empreinte carbone ” bien supérieure.

Sous le titre ‘ La véritable vérité qui dérange : le monde entier doit adopter la politique chinoise de l’enfant unique “, le Financial Post y va plus directement : ‘ La dérangeante vérité qui plane sur le Conférence de l’ONU à  Copenhague n’est pas le réchauffement ou le refroidissement du climat, mais le fait que les humains surpeuplent le monde. Une loi planétaire similaire à  la politique chinoise de l’enfant unique, est le seul moyen d’inverser le taux de natalité catastrophique qui est actuellement d’un million de naissances tous les 4 jours. Les autres espèces, la végétation, les ressources, les océans, les terres arables, l’eau et l’atmosphère sont détruits à  cause du taux de reproduction croissant de l’humanité. Le remède est simple. C’est dramatique. Et pour l’instant à  Copenhague, les dirigeants du monde ne le prennent pas en compte. Ils se feront prendre en photo, feront leur blabla sur la science et la fraude climatique, annonceront la création de fermes éoliennes géantes et la mise en place de droits d’émission carbone. Rien de cela ne marchera à  moins d’imposer une politique de l’enfant unique à  la chinoise. Les discussions de Copenhague sont à  côté de la plaque. Le seul remède est que tous les pays procèdent à  une réduction drastique de la population, nettoient leur foutoir et imposent des mesures contraignantes de conservation “.

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Source : http://alerte-environnement.fr/?p=2532 (copié le 03/02/2010), repris aussi par http://www.egaliteetreconciliation.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=4893&Itemid=109

Réduction de la population : un tabou qui se fissure

Le 18 novembre dernier, à  la veille du Sommet de Copenhague, le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) publiait un rapport sur l’impact de la croissance démographique sur le climat. A l’époque, Le Monde avait couvert ce rapport, ‘ selon lequel la natalité galopante des pays en développement est l’un des principaux moteurs du réchauffement et l’un de ses premiers risques “. L’article du Monde mentionnait notamment qu” une autre étude tout aussi récente citée par le Fnuap conclut qu’un dollar investi dans la planification familiale et l’éducation des filles réduit les émissions de gaz à  effet de serre au moins autant qu’un dollar dépensé dans l’énergie éolienne “. Malgré les avertissements du FNUAP, le sujet démographique semble cependant être encore tabou. C’est en tout cas ce que regrette amèrement Tom Levitt, journaliste à  The Ecologist, dans un article intitulé ‘ Climat : stabiliser la population mondiale ” et paru dans le dernier numéro de L’Ecologiste. Il regrette en effet que ‘ les politiques et même certaines grandes associations écologistes ne veulent pas soulever le problème ” de la croissance démographique.

En fait, ce n’est pas qu’elles soient en désaccord, mais c’est une question de tactique. Ainsi, pour Tom Picken, des Amis de la Terre, cité par Levitt, ‘ aborder le problème par le biais de l’inégalité dans l’accès aux ressources est la façon la plus efficace de réduire les émissions globales “. Interrogé aussi par The Ecologist, ‘ Greenpeace dit (…) que toute tentative de mettre le sujet de la population sur la table serait contreproductif “. Par ailleurs, Yvo de Boer, le responsable de la Convention-cadre des Nations unies sur le changement climatique ‘ est réticent à  aborder le sujet “. Même s’il admet que ‘ la pression démographique est un facteur majeur dans l’augmentation des gaz à  effet de serre “, Yvo de Boer estime qu’une politique de réduction démographique ‘ mène sur des terrains mouvants en matière morale “. Mais Tom Levitt ne désespère pas pour autant de voir ce tabou levé. Il mentionne le rapport 2008 ‘ Planète Vivante ” du WWF et les travaux de l’Optimum Population trust qui, tous deux, ne s’embarrassent pas de considérations morales sur la réduction de la population mondiale. Tom Levitt conclut en affirmant que ‘ la prise de conscience progresse “, mentionnant à  titre d’exemple John Beddington, nouveau conseiller du gouvernement britannique, qui a récemment évoqué le problème de la croissance démographique.

Et en France…

Aujourd’hui, rares sont ceux qui en France s’avancent sur cette question polémique de la démographie. Dans la tradition de René Dumont, qui déclarait en 1999 que ‘ le XXe siècle est un siècle maudit. Il n’y a jamais eu autant de conneries que durant ce siècle. La première étant l’explosion démographique. “, on trouve évidemment la revue L’Ecologiste, mais aussi le député Vert Yves Cochet, l’eurodéputé Europe Ecologie Jean-Paul Besset ou encore le nouvel allié d’Europe Ecologie : Antoine Waechter, président du Mouvement écologiste indépendant (MEI). En effet, dans un communiqué du 24 novembre 2009 concernant le rapport du FNUAP, le MEI ‘ qui se bat depuis des années pour faire reconnaître l’importance du facteur démographique dans la crise écologique, se réjouit de cette prise de position, qui brise le tabou démographique, au plus haut niveau des instances internationales “. Dans ce même communiqué, le MEI ‘ rappelle la position de René Dumont qui est la sienne “, en reproduisant une citation de l’agronome écologiste qui conclut : ‘ Des mesures limitatives autoritaires vont donc devenir de plus en plus nécessaires, mais elles ne seront acceptables que si elles commencent par les pays riches et par l’éducation des autres. ” Rajoutons que le MEI avait organisé en aoùt 2009 un séminaire sur la démographie et que, dans un texte sur cette thématique, Antoine Waechter affirmait : ‘ Pour stabiliser au niveau de 2005 l’impact de l’Humanité sur les ressources et les écosystèmes de la Terre, tout en permettant à  chacun de vivre selon les standards français, la population devrait se réduire à  1,7 ou 2 milliards d’individus. ” Réduire la population mondiale de 5 milliards d’individus, en voilà  un projet ambitieux !

Enfin, sur le site ‘ planète attitude, la communauté du WWF en France “, Michel Tarrier, naturaliste et chroniqueur à  la revue du WWF France, a créé un groupe ‘ démographie responsable ” dans lequel les débats sur la surpopulation sont absolument décomplexés. Tarrier n’hésite pas à  dire qu” il faut réhabiliter Malthus ” ou que ‘ le WWF est une ONG éco-malthusienne parce que lucide et bienveillante “. Il faut dire que Michel Tarrier connaît bien le sujet puisqu’il est l’auteur, avec sa fille Daisy (responsable des partenariats au WWF France), du livre Faire des enfants tue… (voir notre billet à  ce sujet http://alerte-environnement.fr/?p=1150).

Sources

Grégoire Allix, ‘ Limiter les naissances, un remède au péril climatique ? “, Le Monde, 18 novembre 2009.

Tom Levitt, ‘ Climat : stabiliser la population mondiale “, L’Ecologiste, n°30, hiver 2009.

Entretien avec René Dumont, Politis, mars 1999.

http://www.mei-fr.org/communique_type.php?id_communiques=322

http://www.mei-fr.org/autrestextes_types.php?id=45

http://www.mei-fr.org/image/photo/Lettre/LdE88.pdf

http://www.planete-attitude.fr/group/dmographie